No cure

[Voix grave et rauque, chaude, à peine polie par les années de concerts]:
« It’s… it’s been a long time since I stood on the stage in London, it was about… about… fourteen or fifteen years ago… I was sixty years’ old, just a kid with a crazy dream [rires émus dans la salle].
Since then, I’ve taken a lot of Prozac, Paxil, Wellbutrin, Effexor [énumération des différentes médications et substances qu’il a avalées, ingurgitées, vomies au cours de cette période].
Then I’ve also studied deeply in the philosophies of the religions, but… [sourire madré] …cheerfulness kept breaking through [public totalement sous le charme].
But I want to tell you something that I think will not be easily contradicted: … [longue pause, la salle entière retient son souffle]… There ain’t no cure for love… [public extatique] »

Si ça n’est pas un des meilleurs lancements de chanson de l’histoire de la musique, je ne m’appelle pas Leonard Cohen…

Copyright Khaled Osman (février 2015)

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