Ci-dessous, les romans traduits de
l’arabe par Khaled Osman
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Titre
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Description
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Présentation éditeur
Ali, un soldat de l’armée syrienne de 19 ans, gît à
quelques pas d’un arbre. Il a une vision, celle
d’un enterrement. S’agit-il du sien ? Tandis qu’il
reprend ses esprits, Ali se souvient : c’étaient
les funérailles de son frère. Il y a un an
peut-être.
Ali comprend alors qu’il a dû être blessé par une
bombe et tente de localiser la douleur,
d’identifier la blessure. Son désir le plus cher
est de s’envoler jusqu’à l’une des branches de
l’arbre. Les arbres ont toujours été son refuge,
sa maison. Ils n’ont pas de secret pour lui.
Là-haut, il serait également à l’abri des animaux
sauvages après le coucher du soleil.
Tout en essayant péniblement de s’en rapprocher,
Ali se remémore différents épisodes de sa vie, de
sa naissance auréolée de mystère à la gardienne
presque centenaire du sanctuaire de son village
qui l’initie à leur foi ancestrale, jusqu’à son
arrivée au poste de contrôle de l’armée où il est
enrôlé de force.
Enfant silencieux et contemplatif, inadapté à
l’école, Ali est d’une rare force et agilité. Sa
sensibilité ainsi que son amour et sa profonde
compréhension de la nature lui confèrent une aura
presque mystique. Son chemin semblait tout tracé,
menant ultimement au sanctuaire et aux arbres qui
l’ont vu naître. Mais la guerre en a décidé
autrement…
Dans La Demeure du vent, Samar Yazbek
explore avec force et poésie la puissance de la
nature, et la vanité des hommes. Elle révèle la
richesse de la foi alaouite et sa relation aux
éléments. Au cœur du roman, un appel universel au
retour à la terre au sens le plus primitif.
Un grand texte sur la beauté et l’âpreté de la
vie.
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Editions Actes Sud – Sindbad, 2 février 2022
Roman traduit de l’arabe (Egypte) par Khaled Osman (orig. Kalb baladi mudarrab,
2014).
Ce livre a figuré en 2022 dans la
dernière sélection du Prix de la littérature arabe décerné par l’Institut
du Monde arabe et la fondation Jean-Luc Lagardère.
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Extrait
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Présentation éditeur
Ahmad est un licencié en lettres qui rêve de
devenir un grand écrivain, mais il est contraint
pour gagner sa vie d’écrire de petits récits
pornographiques à l’intention de sites internet
spécialisés. Il fait la connaissance d’une jeune
femme mariée, Nivine, une dévoreuse d’hommes, qui
le mêle à ses torrides aventures sexuelles et qui
se fait au cours de l’une d’elles voler sa voiture
et tout ce qu’elle possède. Autour d’Ahmad et de
Nivine, dans leur perpétuelle fuite, s’agite une
faune de jeunes marginaux dont les histoires
s’entrecroisent dans des scènes à la fois
tragiques et hilarantes.
En peu de pages où fourmillent les propos
sarcastiques et les réparties cinglantes dans la
langue crue des bas-fonds du Caire, ainsi que les
références à des séries télévisées et des films X,
Muhammad Aladdin brosse le portrait d’une partie
de la génération née au début des années 1980.
Désœuvrée, violente, indifférente aux injonctions
civiques, morales ou religieuses, elle comble le
vide de son existence en s’évadant dans un monde
virtuel, au-delà du bien et du mal.
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Editions
Stéphane Marsan, 24 mars 2021.
Roman
traduit de l’arabe (Oman) par Khaled Osman (orig. Sayyeddât
al-Qamar, 2010).
Ce livre a remporté en 2021 le Prix de la littérature
arabe décerné par l’Institut du Monde arabe et
la fondation Jean-Luc Lagardère. L’édition anglaise de
ce livre avait obtenu en 2019 le Man Booker International
Prize.
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Extrait |
Présentation de l’éditeur:
« Dans le village d’Awafi, à Oman, vivent trois soeurs, toutes à marier. Maya, la couturière minutieuse, épouse
Abdallah qui s’éprend d’elle au premier regard. La sage Asma se marie à Khaled par sens du devoir.
Quant à Khawla, l’insoumise qui lit des romans d’amour, elle décline les demandes de tous ses soupirants, espérant le retour de l’homme auquel
elle a été promise depuis son enfance. Mais Nasser est parti faire ses études à l’étranger, et on a de bonnes raisons de croire qu’il ne reviendra pas. Ces trois femmes, leurs ancêtres et leurs
descendants, sont les témoins des mutations qui transforment en profondeur la société omanaise. Ce
roman en spirale, à la construction sophistiquée, raconte l’émancipation d’un pays à travers les amours et les deuils d’une famille.
Premier roman de langue arabe récompensé par le Prix International Man-Booker [prix partagé entre Jokha Alharthi et sa traductrice en langue
anglaise Marilyn Booth], Les Corps Célestes révèle une auteure majeure, d’envergure internationale. »
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Editions Liana Levi, mars 2020.
Roman traduit de l’arabe (Egypte) par Ola Mehanna et
Khaled Osman (orig. Bilâd al-Qâ’id,
2019).
La presse en
parle
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Au pays du Commandeur, nul ne peut ignorer qui est le maître: son image est partout, les lieux publics portent son nom, des livres sont écrits a? sa gloire. Au pays du Commandeur, tout le monde lui est redevable, chacun chante ses louanges, dans sa cuisine ou en public, mais sur les toits-terrasses des maisons il se raconte de drôles d’histoires.
Au pays du Commandeur, on se méfie de
l’aveugle au coin de la rue, de sa
secrétaire, de son voisin, de son
conjoint.
Tiraillé par des sentiments contradictoires, un écrivain venu d’un État voisin de l’Irassybie observe. Quelqu’un soufflera-t-il un jour sur les braises de la révolte?
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Editions Liana Levi, mars 2018
Roman traduit de l’arabe (Yémen) par Ola Mehanna et Khaled Osman (orig. Al-machâ’a, 2017)
Ce livre a été retenu parmi les sept romans étrangers finalistes du Prix Femina 2018.
La presse en parle
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Rima aime les livres, surtout Le Petit Prince et Alice au pays des merveilles, le dessin et… marcher. La jeune fille, qui ne parle pas, souffre d’une étrange
maladie: ses jambes fonctionnent indépendamment de sa volonté, dès qu’elle se met à marcher elle ne peut plus s’arrêter.
Un jour d’août 2013, alors qu’elle traverse Damas en bus, un soldat ouvre le feu à un check-point.
Sa mère succombe sous les balles et Rima, blessée, est emmenée dans un hôpital pénitencier avant que son frère ne la conduise dans la zone assiégée de
la Ghouta. Et c’est là, dans cet enfer sur terre, que Rima écrit son histoire.
À travers la déambulation vive et poétique de cette adolescente singulière dans l’horreur de la
guerre, Samar Yazbek continue son combat pour exposer aux yeux du monde la souffrance du peuple syrien.
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Editions Actes Sud, septembre 2017.
Roman traduit de l’arabe (Egypte) par Khaled Osman (orig. Nissâ’ al-Karantina, 2014).
Ce livre a figuré dans la sélection
2018 du Prix de la
littérature arabe créé par l’Institut du monde
arabe et la Fondation Jean-Luc Lagardère.
La presse en parle
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Saga familiale sur trois générations dans une Alexandrie parallèle et
secrète, Les Femmes de Karantina offre une galerie de personnages truculents tous plus en délicatesse avec la loi les uns que les autres. Traitement
iconoclaste des mythes, maniement audacieux de la langue, humour féroce, Nael Al-Toukhy dynamite la tradition et la légende avec une énergie contagieuse.
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Editions Liana
Levi, mars 2015.
Roman traduit de
l’arabe (Yémen) par Khaled Osman, en collaboration
avec Ola Mehanna (orig. Horma, 2013).
Ce livre a
obtenu en septembre 2015 une mention spéciale décernée par le jury du
Prix de la littérature
arabe créé par l’Institut du monde arabe et la
Fondation Jean-Luc Lagardère.
La presse en parle
Les lecteurs en
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À quoi bon ce corps? se lamente
l’héroïne de ce roman, en égrenant ses
souvenirs. Élevée dans une famille yéménite
traditionnelle, elle a grandi sous le joug des
préceptes et des interdits. Soumission ou
transgression, elle n’a pas d’autre choix.
Loula, sa sœur aînée, qui se sert de ses charmes
pour vivre, a choisi la rébellion et l’initie,
en cachette, à la sexualité. Quant à son frère,
il délaisse Marx pour Dieu et l’entraîne dans le
djihad, jusqu’en Afghanistan. Entre religion et
frustration, elle suivra son inexorable
destin…
Un portrait brûlant, dérangeant, d’une femme
brisée par une société hypocrite..
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Editions Albin
Michel, janvier 2014.
Roman traduit de
l’arabe (Egypte) par Khaled Osman (orig. ‘Azâzîl,
2010)
L’édition
originale de ce livre avait obtenu en 2009 le Prix International de la
Fiction Arabe (« Arabic Booker »).
La presse en parle
Les lecteurs en
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Quel est ce mystérieux manuscrit
découvert par des archéologues dans un coffret
en bois, perdu au milieu des ruines, non loin
d’Alep? Quelles terribles vérités
contenait-il pour avoir été ainsi abandonné à la
garde des siècles? Traduit de l’araméen, il
apparaît comme l’autobiographie d’un
moine-médecin venu de Haute-Égypte dans la
première moitié du Vème siècle: Hiba.
En arrivant à Alexandrie, Hiba croyait que
cette seconde Rome lui livrerait les lumières de
la foi chrétienne et des sciences grecques.
Mais, à l’heure où triomphe le
christianisme jadis
persécuté, il assiste aux ravages du fanatisme
religieux. Du lynchage de la philosophe
platonicienne Hypatie à la destruction des
trésors culturels païens, des complots contre
les «hérétiques» à la mainmise de l’Empire sur
l’Église, Azazel, le démon de la haine et de la
division semble s’être emparé du monde. Et de
l’âme d’Hiba, assailli par le doute depuis
qu’il a rencontré la belle païenne Octavie…
Sur fond de conflits théologiques et de luttes
fratricides, le roman de l’Égyptien Youssef
Ziedan, Grand Prix international du roman arabe,
mêle mystique, violence et sensualité dans une
fresque vertigineuse des premiers temps de la
Chrétienté.
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de
Raja Alem
Editions
Stock (« La Cosmopolite Noire »), octobre
2012.
Réédition en poche
(Points), janvier 2014.
Roman
traduit de l’arabe (Arabie Saoudite) par
Khaled Osman, en collaboration avec Ola
Mehanna (orig. Tawq al-Hamâm, 2010)
Ce livre a
obtenu en octobre 2013 le Prix spécial du
jury du Prix Violeta Negra, remis à
l’occasion du festival Polars du Sud à Toulouse.
L’édition originale de ce livre avait obtenu en
2009 le Prix
International de la Fiction Arabe (« Arabic
Booker »).
La presse en
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Les lecteurs en
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Les libraires et bibliothécaires en
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Une femme est retrouvée nue,
assassinée, le visage défoncé, dans un
passage de La Mekke. Cette affaire émeut
profondément les habitants de ce
quartier et vient réveiller de lourds
secrets de famille, d’amours interdites,
mais aussi de malversations financières,
au sein d’une ville dont l’architecture
et le patrimoine religieux excitent la
convoitise des sociétés immobilières.
L’inspecteur Nasser est chargé
de l’enquête, ce qui rompt pour un temps
sa routine et sa solitude.
Afin d’identifier la victime, il plonge
dans les existences tourmentées de deux
femmes portées disparues, ‘Aicha et
‘Azza. Institutrice répudiée par son
mari, ‘Aicha entretenait en effet une
correspondance amoureuse avec un
kinésithérapeute allemand, dont
l’inspecteur se délecte. En même temps,
il parcourt le journal intime de
Youssef, jeune historien amoureux de
l’architecture de La Mekke tout autant
que de ‘Azza, jeune femme déterminée à
ne laisser aucun sentiment
l’asservir.
Mais Nasser va croiser des
fantômes plus inquiétants. La corruption
règne dans cette ville tiraillée entre
ses traditions ancestrales et l’élan
brutal vers la modernité. La Mekke
semble se confier au lecteur, en
révélant les enjeux complexes dont elle
fait l’objet. Et très vite, on comprend
que c’est le coeur sacré de cette ville,
la Kaaba, qu’il faut sauver.
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Edition brochée
Edition de poche
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Editions Robert
Laffont, septembre 2012.
Roman traduit de
l’arabe (Syrie) par Ola Mehanna et Khaled Osman
(orig. Al-çamt wal-çakhb, 2004)
La presse en parle
Les lecteurs en
parlent
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« Je vous en supplie, trouvez-moi un nom
approprié à ce que nous sommes en train de
vivre?
– Un nom approprié? C’est tout ce que
vous attendez de moi? Surréaliste. C’est ça, le
mot qui convient. »
Une journée dans la vie de Fathi Chin, écrivain
célèbre interdit de publication par le Chef
suprême de son pays (un pays qui pourrait
être… la Syrie). Ce jour-là, on célèbre les
vingt ans de pouvoir du despote: sous un soleil
de feu, des milliers de personnes défilent en
hurlant des slogans, des haut-parleurs braillent
en boucle les discours du dictateur et les
miliciens, hors d’eux, s’acharnent sur la foule.
Emporté par le mouvement, harcelé par la milice,
assourdi par le tintamarre, Fathi est balloté
d’un lieu à un autre dans un maelström de plus
en plus extravagant.
Il ne reste donc à Fathi qu’un seul
havre ou se mettre hors d’atteinte du pouvoir :
l’appartement de Lama, sa maîtresse, ou règne un
calme d’une autre époque. Là, dans le bonheur de
l’amour et dans l’exultation des corps, Fathi
croit trouver les éléments qui forgent la
liberté. Mais comment savoir si, à l’instar du
reste, ce dernier refuge n’est pas une illusion?
Comment être sûr qu’il ne s’agit pas d’un rêve
éveillé qui, à tout moment, peut basculer dans
la cauchemar?
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Editions Actes
Sud, paru en mai 2012.
Roman traduit de
l’arabe (Egypte) par Khaled Osman (orig. Khawr
al-gammâl, 2009)
La presse en parle
Les lecteurs en parlent
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Mourant de soif, une caravane bédouine
erre dans le désert : son guide, le sage de la
tribu, a confié à son fils la garde du chameau
« porteur d’eau », mais celui-ci, profitant d’un
moment d’inattention du garçon, disparaît dans
la nature. Quelques jours plus tard, comme par
miracle, la caravane se retrouve dans un ravin à
la végétation luxuriante où elle s’approvisionne
en eau avant de poursuivre son chemin.
Cependant, pour le punir, ou peut-être pour lui
permettre de se racheter, le cheikh oblige son
fils à rester sur place en compagnie d’une
chamelle blessée… Ainsi commence, telle que la
rapportent les anciens, la légende du chamelier
: son mariage avec la fille du berger enlevé par
les djinns, l’aménagement par ses soins du ravin
et, surtout, son engagement de bon voisinage
avec le peuple des serpents.
Le réalisme fantastique d’Aboukhnegar se situe
au croisement de trois traditions : la
mythologie de l’Egypte ancienne, les légendes
bibliques et leurs prolongements coraniques,
l’étrange et le merveilleux
araho-musulmans.
Aussi ce roman peut-il se lire à la
fois comme un conte populaire et comme une fable
philosophique sur le péché originel, la chute et
l’impossible rédemption.
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Editions Liana
Levi, octobre 2011.
Roman traduit de
l’arabe (Yémen) par Ola Mehanna et Khaled Osman
(orig. Al-Yahoudi al-hâli, 2009)
La presse en parle
Les lecteurs en
parlent
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Ce roman raconte la passion enflammée
d’une Musulmane et d’un Juif dans le Yémen du
dix-septième siècle, pris dans la tourmente des
événements religieux et politiques..
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Edition de poche
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I & III)
Ghitany
Editions du Seuil,
mars 2011.
Roman traduit de
l’arabe (Egypte) par Khaled Osman (orig. Khulsat
al-karâ, 1996, & Rachahât al-Hamrâ’,
2003)
La presse en parle
La radio en parle: émission « Littérature
sans frontières » avec Gamal Ghitany (audio partie
1)
(audio partie 2)
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« Elle
était là, exactement comme je l’avais
découverte au cœur de la canicule de
Haute-Égypte, dans la même robe pourpre
qui, d’une certaine manière, s’accordait
avec sa peau rosée. (…) J’ai senti
monter en moi une musique envoûtante,
passage d’un muwachah arabo-andalou auquel
se mêlait la mélodie d’un bachraf turc, le tout
agrémenté du souffle d’un ney des vallées
profondes. Je tremblais de tout mon corps,
conscient d’être à la lisière d’une
contrée nouvelle, d’un tournant imprévu du
chemin, d’une route que je n’avais jamais
empruntée auparavant. C’était une
sensation extrême, mêlant le paroxysme de
l’émotion à la menace de
l’anéantissement. »
Cet ouvrage rassemble le premier et le
troisième volume de la série des Carnets, dont
le Seuil avait déjà publié en 2008 le cinquième
volume sous le titre Les Poussières de
l’effacement. Si le premier des deux
carnets s’apparente plutôt à une exploration
géographique de la sensualité féminine (qui, à
partir du vieux Caire, nous emmène de
l’Andalousie à la Russie, en passant par l’Asie
centrale et le Maroc), le second dérive du
souvenir obsédant de Hamra (femme singulière
rencontrée dans son enfance qui l’a marqué au
point que nombre des femmes croisées dans la
suite de son parcours amoureux lui apparaîtront
comme de simples répliques de ce séisme
premier). Malgré leur approche différente, les
deux carnets sont unis par un même souffle et
écrits dans le style unique qui fait toute la
force de l’oeuvre de Ghitany: juxtaposition de
récits courts et denses ciselés dans une langue
riche et méditative..
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Alaidy
Editions Actes
Sud, février 2010.
Roman traduit de
l’arabe (Egypte) par Khaled Osman (orig. An
takoun ‘Abbas el-‘Abd, 2005)
La presse en parle
Une étude parle de la traduction
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Vendeur à l’Amerco Video Club –
autrement dit “esclave électronique asservi à
l’empire de Bill Gates” – le narrateur
appartient à cette génération parvenue à l’âge
adulte au moment où son pays n’a plus d’idéal
politique. Après avoir grandi sous la férule
d’un oncle psychanalyste, il mène dans la
métropole cairote une existence tourmentée,
jusqu’au jour où il fait la rencontre de ‘Abbas
el-‘Abd, un nihiliste convaincu.
Celui-ci lui livre sa vision de la vie
à travers de percutants aphorismes et, sous
prétexte de le sortir de son isolement social,
lui transfère généreusement ses conquêtes
féminines. Il l’incite ainsi à rencontrer
simultanément deux d’entre elles à deux étages
différents du même établissement. Si toutes deux
se prénomment Hind, l’une est une jeune fille
plutôt embourgeoisée quand l’autre est réduite
par une société machiste à la condition de
“serpillière”… Toutes les cartes sont
brouillées et, dans cette Egypte chaotique vouée
aux dieux du commerce, la schizophrénie vient se
nicher où on ne l’attend pas…
Devenu le roman culte de toute une
génération, ce livre fait subtilement usage
d’une langue inspirée des nouveaux outils de
communication électronique afin de raconter une
jeunesse américanisée à outrance, passablement
névrotique, cherchant ses repères dans un pays
rongé par la peur et les frustrations.
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Kachachi
Editions Liana
Levi, septembre 2009.
Roman traduit de
l’arabe (Irak) par Ola Mehanna et Khaled Osman
(orig. Al-Hafîda al-amirikiyya, 2006)
Ce livre a fait partie des trente romans sélectionnés
dans le Guide Lire/Virgin de la rentrée
littéraire 2009 et
La Fnac l’a élu parmi ses coups
de coeur de cette même rentrée .
Présentation par
Nathalie Six (lien vers la vidéo sur
Femmes.com)
La presse en parle
Les lecteurs en parlent
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A l’adolescence, Zeina a quitté l’Irak
pour les États-Unis avec sa famille, son père
étant accusé de conspiration contre le régime de
Saddam Hussein. Bien intégrée à son pays
d’adoption mais élevée dans l’amour de son pays
d’origine, elle décide, à l’âge de trente ans,
d’y retourner comme interprète de l’armée
américaine. Convaincue par la noblesse de sa
mission, mais un peu honteuse de revenir sous
cet uniforme, elle tarde à en avertir sa
grand-mère, veuve d’un colonel de l’armée
irakienne. Chargée de traduire et sensibiliser à
la culture arabe les militaires américains, la
jeune femme se rend compte que son rôle va bien
au-delà : à son corps défendant, elle assiste
aux interrogatoires ou fait irruption la nuit
avec son unité dans les maisons suspectes…
Le malaise s’installe. La réprobation
aussi, celle de sa grand-mère, des proches, et
plus lourde encore : la sienne…
A travers ce beau personnage de femme
déchirée entre deux identités, l’auteur brosse
une peinture de la vie des Irakiens expatriés en
Amérique et de leur relation fusionnelle avec la
mère-patrie. Au ressentiment des Irakiens de
l’intérieur vis-à-vis de l’occupant américain
répond la douleur des familles endeuillées aux
Etats-Unis.
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Ghitany
Editions du Seuil,
octobre 2008.
Roman traduit de
l’arabe (Egypte) par Khaled Osman (orig. Nithâr
al-mahw, 2005)
Ce livre a remporté le Prix du Roman
Arabe 2009 (décerné par le Conseil des
ambassadeurs arabes en France en partenariat avec
l’IMA).
Présentation et
extrait
La presse en parle
Emission « 1 livre, 1 jour » (video)
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Ce nouveau récit de Ghitany appartient
à la série des « Carnets », un grand projet
littéraire qu’il consacre depuis 1997 au thème
de la mémoire et de l’identité. Un homme qui
s’approche de la soixantaine, âge fatidique de
la retraite, fait retour sur ce qui a constitué
sa vie. Des bouffées de nostalgie entrecoupées
d’interrogations métaphysiques, qui témoignent
d’une insatiable curiosité face aux énigmes de
notre existence.
Le
livre émouvant d’un homme qui se penche sur tout
ce qui l’a marqué.
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Un Printemps très chaud
de
Sahar
Khalifa
Editions du Seuil,
février 2008, roman traduit de l’arabe (Palestine)
par Ola Mehanna et Khaled Osman (orig. Rabi’ hâr,
2004)
Ce livre a obtenu une Mention Spéciale
du jury lors du Prix du Roman arabe 2008.
Il a remporté le Prix des Lecteurs du
Var 2008 (décerné à un roman français ou
étranger traitant de la Méditerranée) après avoir été
plébiscité par les lecteurs, qui lui ont accordé 70%
de leurs suffrages sur plus de cinq cents votes
exprimés.
Extrait
La presse en parle
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Le blocus de la Cisjordanie par Israël
en 2002 et son impact effroyable sur la
population des Territoires Occupés, vus par le
regard de la plus grande romancière
palestinienne.
Ahmad
est
un jeune garçon un peu bègue mais doté d’un regard
d’artiste et amoureux de Mira, une fillette de la
colonie israélienne voisine; Majid, son frère, se
destine à devenir chanteur de variétés. A travers
le parcours contrasté de ces deux personnages que
rien ne prédestinait à affronter le calvaire,
Sahar Khalifa décrit, sans concession aucune pour
son propre camp, la diversité des réactions face à
l’impitoyable rouleau compresseur israélien.
Recréée à partir du
témoignage d’habitantes d’un quartier
populaire de Naplouse, la
narration nous met également en présence de
certaines de ces femmes qui supportent
héroïquement la tragédie. L’une d’entre elles,
Oumm Souad, rappelle irrésistiblement à la
mémoire du lecteur le souvenir de deux passages
du Captif amoureux de Jean
Genet:
Davantage
en Palestine qu’ailleurs, les femmes me
parurent posséder une qualité de plus que les
hommes. Aussi brave, courageux,
aussi attentif aux autres, tout homme était
limité par ses propres vertus. Aux leurs les
femmes […] ajoutaient à toutes une
dimension qui semblait sous-entendre un rire
immense. (Folio, p.12). |
*
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Afin de justifier la présence d’un
Français, Nidal lui expliqua que j’avais été
hébergé une nuit il y avait quatorze ans, chez
cette femme et son fils. De passage à Irbid,
je voulais la revoir si elle était
vivante[…] |
– Si vous me parlez de Hamza et de sa
mère, elle est vivante. et même vous allez la
voir, bien vivante. |
Cela comme s’il eût dit, admiratif:
trop vivante. (Folio, p. 569) |
Le récit balaie les territoires
hérissés de grillages et de check-points, depuis
le village de ‘Ayn el-Morjan jusqu’au chaudron
de l’université de Bir Zeit, en passant par la
vieille ville de Naplouse, puis Ramallah et le
siège du président Arafat, dont quelques pages
nous brossent un portrait à la fois ambigu et
saisissant.
Un
livre
bouleversant.
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|
de
Gamal
Ghitany
Editions
du Seuil,2007.
Récit
traduit de l’arabe par Khaled Osman (orig. Muqârabat
al-Abad, 2000)
La presse en parle
Critique de Claude Guibal (Libération)
lue par Marie Nicolle (audio)
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« Oui,
c’est cela… Deux enfants qui venaient
avant moi sont décédés; le premier
s’appelle Khalaf, il est mort avant ma
naissance; le second, Kamâl, a rendu l’âme
dans les bras de ma mère à l’entrée de
l’impasse Darb el-Tablâoui, tandis qu’elle
revenait de la consultation chez le
médecin… »
Ce retour sur soi auquel se livre
Ghitany accompagne la grave opération du coeur
qu’il a subie aux Etats-Unis, depuis les
préparatifs du voyage jusqu’au retour au Caire.
L’imminence de l’opération, à laquelle il n’est
pas sûr de réchapper, le conduit à privilégier
l’essentiel, à se pencher sur ce qui a le plus
compté dans sa vie.
Soumis à un régime alimentaire strict,
l’auteur savoure une dernière fois les mets
désormais interdits: éloge du goût, deuil de la
gourmandise – en des pages magnifiques qui
retracent les traditions alimentaires
millénaires de son pays – et hymne à une autre
éternité, celle de l’Égypte.
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Le Livre des illuminations
de
Gamal
Ghitany
Editions
du Seuil, 2005.
Roman
présenté, traduit de l’arabe et annoté par Khaled
Osman (orig. Kitâb al-Tajalliyât, 1990).
Ce livre a obtenu le prix Laure-Bataillon
2005 de la meilleure oeuvre
de fiction traduite dans l’année (décerné
conjointement à l’auteur et au traducteur par la
Maison des Ecrivains Etrangers et des Traducteurs –
villes de Nantes et Saint-Nazaire).
La traduction a par
ailleurs été récompensée par le prix
Amédée-Pichot 2005 (décerné par le
Collège International des Traducteurs Littéraires –
ville d’Arles).
Présentation
Extrait
La presse en parle
Avis de
lecteurs
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« Le
Divan est le poste de contrôle avancé à
partir duquel est supervisé notre monde
terrestre;c’est là que sont tracées les
grandes lignes des destinées, que se
déterminent les orientations essentielles
; tout événement qui s’est produit s’y
trouve enregistré, depuis les grandes
catastrophes naturelles jusqu’aux
babillages du nouveau-né… »
De
retour d’un voyage hors d’Egypte, le
narrateur apprend que son père est
décédé durant son absence ; c’est
l’occasion pour lui de se pencher, lors
d’un long périple intérieur, sur ce que
fut la vie de ce père modeste et digne
et analyser l’évolution de leurs
rapports au fil des années. Déféré
devant le Divan, instance mystique qui
régit les destinées du monde, il reçoit
l’autorisation de voyager en
illumination, c’est-à-dire de balayer
les lieux et les époques en assistant à
diverses manifestations surnaturelles.
Ecrit
dans une langue à la fois simple et
somptueuse, le Livre des Illuminations a
été reconnu comme une tentative réussie
de créer une forme romanesque
spécifiquement arabe.
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Les Récits de l’Institution
de
Gamal
Ghitany
Editions
du Seuil, 2002. Roman traduit de l’arabe par Khaled
Osman (orig. Hikâyât al-Muassassa, 1998)
Extrait
La presse en parle
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L’Institution, sorte d’empire
industriel (politique?) bâti par le fondateur au
bord d’un gouffre insondable. C’est un Etat dans
l’Etat, avec ses lois et ses rituels, ses
prébendes et ses luttes d’influence, ses rumeurs
et ses complots. Nombreux sont les ambitieux qui
rêvent de s’installer au douzième étage, dans le
fauteuil présidentiel laissé vacant après la
mort du fondateur. Cependant, du fond de l’abîme
remontent parfois les fantômes d’un passé
lointain, bien décidés à préserver la mémoire du
fondateur et à se venger des usurpateurs qui
prétendent lui succéder…
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Pyramides
de
Gamal
Ghitany
Editions
Sindbad – Actes Sud, 2000. Textes traduits de l’arabe
par Khaled Osman (orig. Mutun al-Ahrâm, 1994)
Présentation éditeur
La presse en parle
Emission « 1 livre, 1 jour »
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« A celui qui s’obstine se dévoileront les
merveilles ».
Dans un bref ensemble composé de récits
courts et denses, tour à tour fulgurants ou
envoûtants, Ghitany explore les énigmes qui, de
tous temps, ont entouré les pyramides,
s’interrogeant sur la fascination qu’elles ont
exercée sur les hommes d’origine et de condition
variées: un Marocain venu de son pays pour
explorer l’astronomie et qui s’attachera
définitivement aux édifices, une bande de jeunes
garçons qui s’est jurée d’explorer l’intérieur
de la Grande pyramide et dont l’expédition
changera le destin, et bien d’autres encore.
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Les Délires
de la ville
de
Gamal
Ghitany
Editions
Sindbad – Actes Sud, 1999. Roman traduit de l’arabe
par Khaled Osman (orig. Chath al-Madîna, 1991)
Présentation
La presse en parle
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Un intellectuel, appelé à remplacer un
collègue défaillant lors d’un colloque
universitaire organisé par une ville étrangère,
se retrouve immergé dans un univers déchiré par
la rivalité séculaire qui oppose l’Université à
la Municipalité. Entre la satire des
intellectuels et la réflexion sur la légitimité
à incarner le patrimoine, avec des échappées
dans le fantastique.
On retiendra aussi, en contrepoint de
cette ville parabolique, le chant de nostalgie
pour le Caire qui est elle, une ville de chair
et de sang, ses cafés, ses venelles, ses bruits,
ses dédales au crépuscule, ses cafés, lieux de
rencontres émouvantes.
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La mystérieuse Affaire de
l’impasse Zaafarâni
de
Gamal
Ghitany
Editions
Sindbad – Actes Sud, 1997, repris en poche
Babel en 2008.
Roman
traduit de l’arabe par Khaled Osman (Orig. Waqâ’i
harat al-Zaafarâni, 1977)
Présentation
éditeur
La presse en
parle
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« Dans un quartier populaire et coloré
du Caire, un mal étrange frappe soudain tous les
hommes dans ce qu’ils ont de plus précieux…
leur puissance sexuelle. »
A partir de ce prétexte, Ghitany se
livre à une description à la fois chaleureuse et
féroce d’un quartier miné par les fléaux
économiques et sociaux, règne des rancoeurs et
de l’argent-roi. Le style réunit une multitude
de formes narratives: récit clinique des
événements, cheminement mental des personnages,
ragots rapportés à leur propos, communiqués de
presse, comptes rendus militaires…
Il vaut aussi par son extraordinaire
galerie de personnages, depuis le cheikh Ateyya,
charlatan difforme qui impose son emprise sur la
ruelle, puis le quartier, puis le monde, jusqu’à
Tête-de-Radis, le gnome accumulant des piécettes
dans des bassines, en passant par Takarli le
proxénète improvisé, qui évalue le potentiel de
gain recélé par chaque femme croisée sur son
passage.
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Edition
poche
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Mahfouz
par Mahfouz
Entretiens
avec
Gamal Ghitany
Editions
Sindbad, 1991, mémoires traduits de l’arabe par Khaled
Osman (orig. Naguib Mahfouz yatadhakkar,
1989).
Présentation éditeur
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Entretiens avec le
grand romancier recueillis par son cadet et
ami Gamal Ghitany. Une leçon de sagesse et de
modestie. Où l’on voit que la vocation
première de Mahfouz pour la philosophie a
laissé des traces. On retiendra également le
prologue où Mahfouz et Ghitany cheminent
ensemble dans les rues du vieux Caire,
s’attardant dans la Gamâleyya où Mahfouz a vu
le jour et repérant les changements
survenus…
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Récits de
notre quartier
de
Naguib
Mahfouz
Editions
Sindbad, 1985,
reédité
en poche Babel, 1999.
Roman
traduit de l’arabe par Khaled Osman (orig. Hikâyât
hâratina).
Le prix « Biguet » de l’Académie Française a
été décerné en 1988 à Khaled Osman pour sa traduction
de deux livres de Naguib Mahfouz: celui-ci et Le
Voleur et les chiens.
Présentation
éditeur
La presse en parle
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Où comment celui qui est devenu un
vieux sage se penche sur son enfance, grâce à un
entrelacement de récits courts et subtils.
Mahfouz au sommet de son talent.
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Edition poche
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Le Voleur
et les chiens
de
Naguib
Mahfouz
Editions
Sindbad, 1985,
reédité en 1991 en poche Babel, 1996.
Roman
traduit de l’arabe par Khaled Osman (orig. Al-liçç
wal-kilâb, 1961).
Le prix « Biguet » de l’Académie Française
a été décerné en 1988 à Khaled Osman pour sa
traduction de deux livres de Naguib Mahfouz: celui-ci
et Récits de notre quartier.
Présentation éditeur
La presse en parle
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Ouvrage
inclassable (polar métaphysique?) qui inaugure une
nouvelle période dans l’oeuvre de Mahfouz. Le
héros, Saïd Mahrâne, trahi par tous – sa femme,
son ancien lieutenant, son maître à penser – est
victime d’une traque impitoyable pour avoir
seulement songé à la vengeance. Ses seuls
soutiens: un cafetier, une fille des rues, et les
maximes ésotériques d’un vieux sage adepte du
soufisme.
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Edition poche
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